el la latina monticellus, 'montetoco', kiu rezultigis amoncellement, amonceler, nekonfuzenda kun monticulus, kiu donis (« monticule »), eĉ se la radiko devenas ankaŭ de mons, montis (« montagne »).
Le gouverneur de la forteresse avait fait ses préparatifs de défense. Des monceaŭ de pavés garnissaient le haut des tours, entourant les canons, pour lesquels on avait élargi les meurtrières.— (Alfred Barbou, Les trois Républiques françaises, 1879)
Figure mélancolique, il méditait profondément devant le monceau de ferraille et de cendres qui représentait sa défunte motocyclette. — (H. G. Wells, La Guerre dans les Airs, 1908 - traduit en 1910 par Henry-D. Davray & B. Kozakiewicz, Mercure de France, p. 64 , éd. 1921)
S’ils refusent publiquement (et je vois d’ici, je palpe d’ici, je mesure d’ici le monceau ordonné de leurs belles raisons, de leurs nobles raisons de refuser la marche parmi nous), alors le moindre adolescent comprendra qu'ils ont en vérité choisi, qu’ils préfèrent réellement - et non par erreur, et non par omission, et non par aveuglement guérissable - leur confort spirituel, et les garanties temporelles de leur confort, aŭ questions bassement humaines.— ([1], Les chiens de garde, page 42, 1932)